« Dans le chanvre tout est bon », aux Chanvres de l’Atlantique à Saint-Geours- de-Maremne on transforme et on commercialise le chanvre cultivé dans le Sud-Ouest sous toutes ses formes, graines, huile, huile de CBD, huile essentielle, textile…
Aux Chanvres de l’Atlantique on travaille le chanvre bio cultivé dans les Landes et tout le Sud-Ouest. A force de travail et de recherche le processus de transformation est aujourd’hui largement au point tant pour la gamme alimentaire et bien-être que pour le textile. « Dans le chanvre tout est bon », le produit est 100% sans allergène et regorge de nutriments. Le chanvre est riche en protéines, omega 3 et 6 , en vitamines et fibres.
Aux Chanvres de l’Atlantique vous trouverez les graines décortiquées (amande de chanvre au goût noisettes/pignons de pin) mais aussi les protéines sèches et l’huile de cuisine, l’huile de CBD, l’huile essentielle et vous pouvez vous vêtir en vêtements issu du chanvre. Des produits commercialisés sous la marque de l’entreprise Nunti-Sunya.
Le chanvre, une demande grandissante
Installés depuis 2015 à Saint-Geours-de-Maremne, Vincent Lartizien et son équipe des Chanvres de l’Atlantique ont bien compris l’intérêt de la culture du chanvre et sa transformation. Le chanvre pour le bien-être et la santé, le chanvre dans le secteur du bâtiment pour remplacer le sable de plus en plus difficile à trouver, mais aussi dans le domaine du textile pour remplacer le coton qui fait des ravages d’un point de vue écologique. Le chanvre est une plante facile à cultiver, nécessitant peu d’eau et quasiment aucun intrant, c’est aujourd’hui est une aubaine pour les agriculteurs, l’économie et l’écologie. En Europe les surfaces cultivées augmentent d’années en années et dans les Landes également puisque qu’en 2019 les Chanvres de l’Atlantiques ont récolté 100 tonnes de chanvre et prévoit cette année de récolter 120 à 30 tonnes pour atteindre les 150 tonnes en 2021.
En septembre prochain l’expérimentation du cannabis thérapeutique sera lancée en France mais pour l’instant l’Agence du médicament envisage « plutôt d’avoir recours à des producteurs étrangers » pour fournir le cannabis nécessaire.
Source : France Bleu Gascogne